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Titre: EN REGARDANT TOMBER LES MURS
Editeur: L'AVANT-SCENE (n°: 350) et Librairie Théâtrale.
Date: création au Studio des Champs Elysées, à Paris, le 22 9 1966, par la Compagnie SERREAU-PERINETTI, mise en scène A.L.Périnetti avec Christian Bouilette et Maurice Travail.
Durée: 40 minutes.
Thème: une seule solution: détruire la ville.
Résumé: deux hommes, juchés sur des échaffaudages veulent nettoyer la ville de ses habitants. L'un, d'une façon artisanale, au fusil, l'autre en la dynamitant...
Nombre de personnages: deux hommes.
Les critiques :
Guy Foissy sait faire jaillir l'absurdité d'une réplique (Le Monde)
Guy Foissy dont on avait déjà remarqué le ton personnel fait preuve d'un humour noir original. (Le Parisien Libéré)
Le dialogue est drôle et plein de trouvailles. (Carrefour)
Cette pièce est irrésistible de drôlerie et de cruauté tranquille . (Le Nouvel Observateur)
Une pièce pleine de talent qui révèle un auteur intelligent et vif, un homme animé d'une juste horreur pour les formes ridicules que prend la civilisation dite scientifique. (France-Soir)
Œuvre rapide d'un auteur qui peut dire beaucoup en peu de mots. (Pariscope)
Remarquable dialogue (Réalités)
Les pièces de Guy F oissy sont toujours drôles et pleines d'humour (ORTF)
Pièce très dynamique d'une drôlerie agressive qui fait le procès d'une civilisation robotique. (L'Écho de la Mode)
Ironie monstrueuse, cri de révolte contre la civilisation des robots… Œuvre écrite par un tendre avec toute l'ironie du désespoir. (Le Progrès de Lyon)
C'est irrésistible de cruauté froide et paisible, c'est irrésistible de drôlerie agressive et de comique singulier. Un très bon moment qui ne dure pas assez. (Les Lettres Françaises)
Une véritable fureur (une fureur qui a de la dimension) s'empare de Guy Foissy et qu'il rêve de dynamiter un ordre si terrible. Une force dramatique de protestation. (Combat)
Guy Foissy a de la verve, une certaine force d'expression, le sens du trait et du dialogue (Le Figaro)
Regard de caricaturiste férocement juste et drôle que l'auteur pose sur nos bêtises et nos aliénations. (Le Monde)
On ne cesse de rire. Un acte fort bien enlevé qui condamne plus que de longs discours l'inanité de notre civilisation "détonante". Il y a là quelque chose de neuf, une façon originale d'appréhender le réel. Guy Foissy a quelque chose à dire, et le dit avec les moyens et procédés de notre époque qu'il sait remettre pathétiquement en question. (Paris-Théâtre)
Dialogue vif, acerbe, cruel… (Dernière Heure. Ottawa)
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